Manifestation des ouvriers du chantier d'Alang contre le rapatriement du Clemenceau suite à l'action des mouvements écologistes.

Les ouvriers du chantier d’Alang se disent très déçus , car indépendament des centaines d'emplois non créés , les ouvriers espéraient que l’attention dont ils auraient fait l’objet , aurait peut-être ammenés les patrons du secteur a d’améliorer leurs conditions de travail dans l’ensemble du port d’Alang.

Au regard des conditions extrêmement strictes que le démantèlement du Clemenceau aurait inévitablement imposé , question sur l’amiante, et plus globalement des produits toxiques , de nombreux patrons craignaient que les mouvements écologistes comme Greenpeace n'en profitent pour réclamer que tous les autres bateaux suivent ensuite les même procédures contraignantes .
D'après les Shipbreakers du Gujarat , un tel scénario aurait signé l’arrêt de mort de l’industrie d’Alang dans son ensemble .

En effet , Alang , qui a déjà vut la quantité d’acier recyclé dans le port indien divisée par trois ces cinq dernières années , et ses différents spots ne plus marcher actuellement qu’à 20% de leur capacités , n’emploie plus que 3 000 à 4 000 ouvriers , contre près de 40 000 dans les années 90 et vie en permanence sous la menace de ses concurrent bangladais et chinois fleurissant .

En l’absence d’une législation internationale claire sur les normes de sécurité à respecter sur les chantiers de démantèlement asiatiques , les propriétaires des épaves , peu scrupuleux, se dirigent toujours plus vers des pays moins regardants sur les questions de sécurité , à commencer le Bangladesh voisin .