La fracturation hydraulique ou fracking, consiste à injecter dans le sol sous de très hautes pressions , de l'ordre de 600 bars, à l'aide de forage profond, souvent entre -2000 et -3000 mètres, selon les estimations, entre 10 et 20 000 m3 ou 10 à 20 millions de litres , pour extraire le gaz de schiste, en fracturant la roche ou il est emprisonné.


Soit la consommation quotidienne en eau potable d’une ville de 40 000 habitants .
Cette eau est additionnée de sable pour empêcher la fermeture des fractures et surtout , suivant les évaluations , d'environ 900 à 1 000 substances chimiques différentes , entre autre des biocides , qui éliminent les bactéries et moisissures qui freinent l’échappement du méthane en se développent pendant les opérations de remonté des gaz .
Ces mixtures chimique composent entre 0,5 % et 1 % du liquide injecté pour fracturer la roche .
1 % de plusieurs millions de litres d’eau et de sable , représente des dizaines de milliers de litres de polluants potentiels .

Quatre chercheurs US , Colborn , Kwiatkowski , Schultz et Bachran , ont finit par identifié 944 produits chimiques qui, ajoutés à l’eau , servent à briser la roche , par les industriels .
Seul pour 131 de ces produits chimiques , soit 14 % du total , ils ont puent idenfier les ingrédients chimiques à plus de 95 % . Ils ne connaîssent pas la composition exacte de la moitié d’entre eux… Pour 407 de ces produits , seule 1 % de la composition a put etre identifiée .
Seulement 353 molécules ont un code officiel du Chemical Abstract Service et ont put étre clairement identifiées . Elle ont montré que :

-52 % affectent le système nerveux
-46 % affectent le système cardiovasculaire
-40 % affectent le système immunitaire
-40 % affectent le système rénal
-37 % peuvent affecter le système endocrinien qui régularise la chimie corporelle
40 % ont des impacts reconnus sur l’environnement 37 % , soit plus du tiers sont volatiles
La plupart sont des contaminant potentiels des eaux fluviales et des eaux souterraines .
Un quart sont cancérigènes et mutagènes .
Le sel , de tous les produits utilisés dans l'exploitation des gaz de schistes , est considéré comme l’ennemi numéro un .
En effet , les acides en se dissipant dans le sous sol , créent au contact d’autres minéraux , une réaction qui formeraient différents sels , en supplément de ceux , déjà présents à l’état naturel .
Ils se concentreraient de facon particulièrement élevées dans les eaux de récupération , soit près de 10 000 parties par million , c'est à dire , à un niveau équivalent à ce que l'on rencontre dans les eaux saumâtres des estuaires .
596 produits chimiques ont été identifiées en Louisiane .

Les industriels d’exploitant les puits assurent que toutes les précautions ont été prise et que la pollution des nappes phréatiques et des cours d’eau est impossible .
Lors de l'exploitation des puits , la moitié de l'eau contaminée remonte à la surface et est entreposée après récupération à l’air libre , dans des bassins de décantation , sur les sites meme de forage .
La deuxième moitié reste emprisonnée dans le sol avec tous les produits chimiques qu'elles renferment et avec le temps s'infiltre dans tous les interstis et finit par pénétrer tous les milieux .
Malgrés l'assurance des industriels , c'est tout le circuit d’eau potable , les nappes phréatiques , les cours d’eau , qui peuvent peuvent être contaminés par le méthane libéré par la fracturation , et l'utilisation massive des produits chimiques .
Les installations municipales sont inadapté pour traiter les polluants industriels .
Donc des produits peuvent passer carrément à travers les traitements .
Mais quand à savoir qu'elle peut etre l'un impact exact sur l'environnement , c'est impossible vue que l'on ne connaît pas précisément tous les produits .

Les sociétés spécialisées dans l’exploitation pétrolière et propriétères de ces techniques industrielle , font règner l’opacité et demeurent très discrètes sur les composants qu’elles utilisent , en refusant de communiquer la composition exacte de ces cooktails chimiques .

Pour chaque exploitation du gaz de schiste , chaque forage , il existe déjà plus de 500 000 puits percés rien qu'au USA , et des dizaines de milliers d'autres sont en préparation , ces mélanges chimiques sont utilisés .
Comme le gaz de schiste est a priori présent à peut près partout dans la planète , c'est une pollution massive et généralisée qu'Halliburton sous la vice-président Dick Chesney , et ses petits copains sont entrain de mettre en place , au nom d'une pseudo et éphémère indépendance énergétique .

A l'instant présent , la phrase de Rabelais " science sans conscience n'est que ruine de l'ame " , prend vraiment tout son sens .

Pourtant une société , Questerre Energy , a accepté de donner la composition de ces additifs et on y trouve par exemple :

-Du polyacrylamide
-Du isopropanol
-Du triméthylactadécylammonium
-Du xylène sulfonate de sodium
-Du hypochlorite de sodium
-D’amine quaternaire
-Du monohydrate de nitrilatriacétate de trisodium
-Du sel de Bore
-Etc...

Des scientifiques comme les professeurs Alfred Jaouich , Claude Viau , Wilma Subra , etc... , affirment que certaines de ces substances chimiques peuvent être dangereuses et cancérigènes .
Plusieurs de ces substances sont même dangereuses, à l’état de traces .


D'autre part , il faut tenir compte de la transformation de ces produits dans le sol ou ils peuvent devenir :

-Cancérigènes
-Mutagènes
-Perturbateurs endocriniens

Wilma Subra , en étudiant les problèmes de santé des habitants de la ville texane de Dish , a analysé que ceux ci étaient exposés à des taux de polluants anormalements importantes , très supérieurs aux normes et composés :

-D’ozone
-De soufre
-De gaz naturel
-D’éther
-Des fluorocarbones
-De naphtalène
-Des formaldéhydes
-Etc…

Ils étaient responsables de 61% des troubles médicaux constaté en ville et dont les habitants ressentaient les effets plusieurs fois par jour :

-Des nausées
-Des maux de tête
-Des vomissements
-Des affections respiratoires pour 58% des personnes observées
-Etc...